Dans notre Éden Dream tu as disposé sur la table un magnum (quelle soif) de Champagne « la Grande Dame » de la Veuve Clicquot rempli 2 flûtes et, à même le sol, tu as étalé la toile plastifiée qui sert de nappe dans la cuisine proche, avec dessus un drap de bain. Laissons-nous guider, tu ne manques jamais d’imagination et tu ne m’as jamais déçu. Nous trinquons à nos amours et nous nous abreuvons de cet excellent Champagne.

Tu te ressers une deuxième coupe que tu bois d’un trait. Bizarre je ne t’avais jamais vu faire ca. Tu t’approches et tu m’embrasses langoureusement d’un de ces baisers qui me fait immédiatement dresser la queue tellement tu y mets de fougue et d’allant. Ta main va vérifier que ton baiser a bien fait son effet. Tu déboutonnes ma chemise et l’enlèves, idem pour mon pantalon, baisse mon boxer, viens rouler une pelle à ma bite histoire de la faire encore grossir, te relèves et dégrafe ta robe que tu laisses choir sur le sol. Tu es nue. Entièrement nue.

Tu m’ordonnes de fermer les yeux. J’obéis à ton injonction. Tu me mets un bandeau sur les yeux. « Tu peux ouvrir les yeux » m’autorises-tu. J’ouvre et ne vois rien, bien entendu. « Laisse-moi te guider » me dis-tu. Tu me prends par le bras et tu me commandes de m’allonger sur le drap de bain. Je m’exécute. Je t’entends boire une nouvelle coupe. Pas égoïste tu me relèves la tête et m’en fais boire aussi. « Maintenant tu vas me bouffer la chatte et le cul jusqu’à me faire jouir, je m’assieds sur ta bouche et tu ne seras libéré que quand j’aurai joui. Lèche-moi salaud j’ai envie que tu me massacres les trous avec ta langue. »

Bien chef. La punition fait mon bonheur tant j’aime bouffer ta chatte et ton cul. La langue s’active dans tes orifices passant de ta foufoune à ton petit trou revenant au pas à ta foufoune, fouillant ton trou du cul comme si j’allais y trouver quelque chose.

Concours histoire taboue Amour trempé 1 - Concours histoire taboue : Amour trempéTu commences à remuer davantage et ta mouille est abondante, tu exprimes ton plaisir par des gémissements qui ne cachent pas que tu vas jouir. Ça fait déjà un bon moment que tu es à cheval sur mon visage 10 15 20 min je ne sais pas, mais je profite. « La Grande Dame » c’est toi, c’est toi que je déguste. Tu te mets à hurler en même temps que tu me lâches une coulée de cyprine. J’ai le visage inondé. Tu frottes ta foufoune sur mon torse comme si tu voulais l’essuyer, tu fais la même chose sur tout mon corps. Mon corps sens TOI des pieds à la tête.

« Reste allongé c’est pas fini ». Comme tu m’as laissé tomber avec ma trique je pense que tu vas me pomper ou venir t’enfourcher sur ma pine. J’attends. J’entends que tu ressers une flûte. Tu vas être pompette.

Je te devine debout au-dessus de moi un pied de chaque côté de mes hanches, impatient de connaître la suite. Et là, tout à coup j’entends comme un bruit de robinet qui coule et je ressens aussitôt après une sensation de liquide chaud qui se déverse sur mon corps. Je comprends que tu es en train de m’offrir une douche dorée et je comprends mieux ta mise en scène et ta soif. Ton urine m’inonde, une douce sensation m’envahit. Ça coule sur mon corps. Ton envie se termine j’ouvre la bouche pour te faire comprendre que j’ai soif de toi et tu viens y faire tes dernières gouttes.

C’est chaud c’est bon. Tu viens à nouveau t’asseoir sur mon visage pour que je puisse récupérer les dernières gouttes. Puis tu t’allonges sur moi et, tu connais la fin, tu m’embrasses tendrement longuement avant que nous passions à l’acte.